Le doute de soi. Nous passons tous par là, plusieurs fois par jour. Nous nous demandons si nous nous débrouillons suffisamment bien ou si nous sommes capables d'affronter toutes les fluctuations qui peuvent se présenter en vieillissant. Nous doutons des décisions et des choix que nous avons pris ou nous avons simplement l'impression de ne pas être assez bons.
Je vous partage ici une réflexion comme suite à une pratique de yoga avec Eleonora Zampatti. Une belle pratique d'ouverture du coeur qui offrait une intéressante palette d'extensions de la colonne 🥰. Elle nous proposait entre autres de faire le chameau avec une « flipped grip ». Premier commentaire : « Ben oui toi chose ! ... C’est d’une folie, je suis pas capable*. » Je n'ai donc pas poussé l'exploration.
Quand ce moment arriva de l’autre côté, j’ai pensé à un commentaire de Meghan Currie
«...do it just before the brain stops you ». L’exercice de faire confiance à mon corps et d’y aller avant que le mental m’en empêche a été ma cerise sur le sundae 🍒. Oui, puisque j’ai réussi la posture, mais surtout parce que j'ai pu déjouer ma tête. 😏
C’est une micro-fraction de seconde... un sprint entre la pensée positive qui vient dépasser l’incertitude et le doute!!
Cette expérience qui m’a amenée à faire des recherches sur le doute de soi. Ce poison coquin qui nous bloque de notre plein potentiel.
Le doute de soi. Nous passons tous par là, plusieurs fois par jour. Nous nous demandons si nous nous débrouillons suffisamment bien ou si nous sommes capables d'affronter toutes les fluctuations qui peuvent se présenter en vieillissant. Nous doutons des décisions et des choix que nous avons pris ou nous avons simplement l'impression de ne pas être assez bons.
Le doute de soi est mélangé à notre fondation par la désinformation. Les informations que nous recevons sont souvent brouillées à cause d’événements passés ou par les idées formulées et conçues par le monde extérieur, alias le rêve de la société. 😒
Malheureusement, le doute de soi est un problème profond et relié à notre inconscient collectif; qui est entretenu par ceux qui ont beaucoup à gagner à ce que le système reste tel qu'il est...
Le doute de soi c'est comme un modèle préconçu de réaction et de prédiction de réaction, en fonction de la manière dont les réactions nous serviront le mieux, afin que nous puissions accomplir efficacement nos tâches dans cet univers complexe. Mais ces réactions automatiques sont de vieux programmes. Ce sont des comportements absorbés, recueillis en grande partie au cours de notre première décennie de vie, lorsque nous apprenions encore comment obtenir ce dont nous avions besoin pour survivre dans le monde.
Ces réactions ne sont pas nécessairement optimales, saines ou au service de notre plein potentiel. Elles créent souvent des complications et des drames non nécessaires dans notre quotidien, car l'intention qui les soutient est reliée à nos besoins temporaires du moment et non pas envers notre développement.
S'observer, se connecter au moment, se dissocier nos pensées, apprendre à déjouer ces doutes qui arrivent sur le tapis de yoga ou lors de nos projets, nos conversations, lors de prises de décisions** avant qu'ils ne détruisent et qu'ils nous freinent est une méchante belle aventure !!
Alooors, « Just do it before the brain stops you ! » — Marjorie xx
*P.S: 1- Faire la nuance entre le doute mental et le doute du corps... Si le corps sonne l'alarme qu'il n'est pas prêt à le faire, écoutez-le ! **P.S: 2 - Saisir la différence entre les pensées et l'intuition... 😉
Ahhh c'est tellement tout le temps une bataille d'équilibre entre les besoins momentanés et ce qu'on souhaiterait vraiment pour nous. J'adore te lire, ça fait du bien de voir des mots sur ce qu'on ressent, ça normalise ;)